top of page

Yule - Célébration du solstice d'hiver

Bonjour les amis,

L'hiver est enfin là !

J'adore cette période, le soleil est diffus, sa chaleur est douce. C'est une période magique, il y a un truc qui flotte dans l'air…

Les grelots ? Les lumières ?

L'enfant en soi se réveille des étoiles plein les yeux : Excitation sous-jacente, les préparatifs pour les fêtes… Je trépigne d'impatience, une vraie gamine !

C'est aussi le moment pour la vieille ours que je suis d'entrer en hibernation et d'attendre l'arrivée du printemps.

J'enfile mon gilet "de mémé" bien chaud (comme l'appelle ma frangine ;) ), je sors mes chaussons moutons (made in Germany) et je bois un bon thé aux senteurs hivernales. Hhmmmm l'hiver et sa fraîcheur enfantine...Les clémentines et la pâte de fruit ! :)

Il manque juste une belle cheminée qui crépite et la neige !

J’espère pour les fêtes ;)

Yule

YULE : Solstice d'Hiver

Mi na Nellog, yuletide/yulfest, Midwinter, Winter rite, Cuidle, Alban Arthan

Célébration mineur - 19/23 Décembre

La fête de Yule correspond au Solstice d'Hiver, c'est la première journée de l'hiver et aussi la nuit la plus longue de l'année. Cette célébration souligne la naissance du Dieu Soleil qui illuminera la Terre pour la prochaine année. C'est LA Fête du Soleil et de la naissance du Fils que la Déesse met au monde. C'est à cette époque que la terre commence à s'éveiller, en attente du Printemps tout proche.

Dans presque toutes les cultures, le solstice d'hiver marque l'ouverture d'une période de festivités. *On sait que nos ancêtres vivaient selon le rythme des saisons et la durée du cycle du jour, pour eux c'était l'élément essentiel qui guidait leur vie.*

L'arrivée du solstice indiquait la naissance d'un nouveau cycle solaire, l'espoir des jours plus longs et l'arrivée des beaux jours.

C'était une occasion de renaissance énergétique et de réjouissances !

Yule est célébré juste avant l'aube, on regarde le soleil se lever.

Puisque le Dieu correspond au soleil, Yule souligne le moment de l'année où le soleil renaît lui aussi. On allume donc des feux ou des bougies pour accueillir le retour de la lumière solaire. Plongée dans le sommeil pendant l'hiver de l'enfantement, la Déesse récupère après l'accouchement.

Cette fête nous rappelle que la mort apporte finalement une renaissance.

Dans le druidisme, c’est un véritable appel à la Lumière. Les rituels sont surtout des rites ignés : On y allumait, au cœur des cercles de pierres souvent dédiés aux rites solaires, le Feu Sacré à l’image du Soleil renaissant dans la nuit.

L'Hiver fait donc doucement place au Père Soleil.

C'est aussi le symbole de la Nativité célébrée chez les chrétiens avec la naissance du Christ et les Saturnales chez les Romains.

Correspondances et Symboles :

Élément : Terre

Encens : Cèdre, pin, sapin, romarin, Myrrhe, Cannelle

Fleurs : Poinsettias, cactus de Jérusalem, roses rouges

Bougies : Vertes, rouges, blanches, dorées

Arbres : Chêne (pour la bûche), Cèdre, Houx, Pin, Sapin

Pierres : Grenat, Turquoise, Œil de tigre

Couleurs : Or, vert, blanc et rouge

Animaux : Cheval, Corbeau, Ours, Porcs, Vaches/Bœufs, Cerfs/Rennes

Arcanes du Tarot : Arcane IX (L'Hermite) pour l'intériorité, l'Arcane XVII (L'Etoile) pour la guidance, la protection et l'espérance et Les pentacles (Deniers) pour l'abondance. Planète : Jupiter

Symboles : Le chaudron (intuition profonde), la Bûche de Noël, le fait-maison, Lumière, Ténèbres.

Dieux/Déesses : *Odin,

*Ullr

*Freya,

*Woden,

*La Déesse,

*Le Dieu,

*La Cailleach,

*Skadi,

Odin

Étymologie : Yule est un mot anglo-saxon utilisé dans les régions germaniques et nordiques qui désigne la période de Noël (jol en nordique ancien, qui a donné jól en islandais contemporain, jul en danois, norvégien et suédois, joulu en finnois, jõulv en estonien et désigne désormais la fête de Noël).

Son étymologie est contestée : Certains l'ont rattaché, sans doute à tort, à la roue (hjul en suédois, hjól en islandais, wheel en anglais).

Selon toute vraisemblance, il s'agit quand même d'un mot scandinave associé à l'hiver.

Le mot "jol" apparaît en nordique ancien aux alentours de l'an 900, dans un poème d'hommage à Harald aux beaux cheveux ou un personnage parle de "boire à Jol".

Jol était le nom de la fête de la mi-hiver ou Jólablót, dont on discute encore pour savoir si elle avait lieu à l'occasion du solstice d'hiver ou à la mi-janvier. Le "blót" était l'invocation des dieux, et on faisait alors de grands banquets pour appeler la bénédiction des dieux sur les récoltes à venir. Le dieu attaché à Jol était Jólner, l'un des nombreux noms d'Odin.

Mythes :

La fête s'observe en commémorant la mort du Holly King (Roi de houx) qui meurt tué par son successeur le Oak King (Roi de chêne). Ce sont tous deux des dieux-arbres. On retrouve aujourd'hui à Noël les couronnes de gui, une idée reprise par le christianisme. Il existait la couronne horizontale, d'origine scandinave ou germanique, qui portait 4 bougies. Chaque dimanche il était coutume d'allumer une nouvelle bougie, ce qui symbolisait la renaissance de la lumière. Rouge le plus souvent, les couleurs des bougies variaient cependant selon les régions.

Nos symboles de Noël sont inspirés de cette fête (sapins, gui, houx et cadeaux…).

Holly king et Oak king

Mythologie Scandinave

Dans la mythologie scandinave, Yule est le moment de l'année où Heimdalir (de son trône situé au Pôle Nord) accompagné des Aesirs (l'Ansuzgardaraiwo) revient visiter ses enfants, les descendants de Jarl. Ils visitent ainsi chaque foyer pour récompenser ceux qui parmi ses enfants ont bien agi durant l'année. Ils laissent ainsi un présent dans la chaussette de ceux-ci. Les enfants ayant mal agi voyaient à l'aube leur chaussette remplie de cendres. Yule est évidemment aussi une fête où les Hommes, de leur côté, et les dieux, du leur, se rencontrent pour partager un repas bien arrosé, raconter, festoyer et chanter.

Le dieu nordique Odin comme Père Noël ?

Ce "joyeux vieil elfe" tire peut-être son nom de Sinterklaas, dérivé hollandais de Saint-Nicolas de Myra, mais son apparence, ainsi que quelques-unes des coutumes et caractéristiques associées au père Noël semblent bien provenir des traditions nordiques.

Phyllis Siefker, dans son livre Le père Noël, Le dernier des hommes sauvages nous conte les origines et l'évolution de Saint-Nicolas, s'étalant sur 50 000 ans. Il fait des parallèles entre le dieu nordique Odin et le père Noël, le festival d'hiver germanique de Yule et de nombreuses traditions que nous associons à Noël aujourd’hui, y compris chanter et décorer des arbres à feuilles persistantes. Une coutume de Noël selon laquelle les enfants mettraient, la paille du cheval à huit pattes d’Odin, dans leurs bottes et les placeraient devant la cheminée avant de les trouver remplis de bonbons et de jouets le lendemain matin semblait avoir conduit à cette tradition que nous continuons de perpétrer de nos jours.

Odin était, après tout, un sorcier à la forme changeante, capable d'entrer et de sortir en douce sous le couvert de la nuit. Saint Nicolas, semble-t-il, n'était pas doté de tels pouvoirs, même si son amour des biscuits était notoire ! ;)

Bougeoire viking

Mythologie Germanique

Saint Nicolas (St Nikolaus).

L'histoire raconte que, dans la région Lorraine, entre Nancy et Metz, l'hiver approchant, trois enfants, partis dans les champs, se perdirent sur le chemin du retour.

Attirés par la lumière filtrant des fenêtres d'une maison, ils s'approchèrent et frappèrent à la porte.

L'homme qui leur ouvrit, Pierre Lenoir (Peter Schwartz dans la culture germanique), boucher de son état, accepta de leur donner l'hospitalité pour la nuit. En fait, sitôt les enfants rentrés, il les tua, puis à l'aide de son grand couteau, les coupa en petits morceaux, pour finalement les mettre dans son saloir (un grand baquet empli de sel), afin d'en faire du petit salé.

Saint Nicolas, chevauchant son âne, vint à passer par là et frappa à son tour à la porte du boucher. L'homme, n'osant pas rejeter un évêque, le convia à dîner. Son invité lui demandant du petit salé, le boucher comprit qu'il était découvert et, pris au piège, avoua tout. Le saint homme étendit alors trois doigts au dessus du tonneau de petit salé, reconstituant et ressuscitant ainsi les trois enfants.

Saint Nicolas enchaîna le boucher à son âne et le garda auprès de lui pour le punir.

Il devint le père Fouettard, être mauvais, dont le rôle est de réprimander les enfants désobéissants et les cancres, fort de son caractère violent et irascible. Toujours vêtu de noir, caché sous une cagoule et une épaisse barbe noire, il incarne tout l'opposé de Saint Nicolas, en somme, qui arbore une belle barbe blanche, des vêtements colorés d'évêque (mauve et blanc, avec une crosse, dorée à l'origine, puis rouge et blanche, ce qui le rapproche du Père Noël actuel (Saint Nikolaus devint Santa Klaus)), et donne toujours l'image d'une personne bienveillante.

Une partie des attributs régionaux de saint Nicolas serait inspirée du dieu scandinave Odin. En effet, ce dernier est toujours accompagné de ses deux corbeaux « qui voient tout », et de son cheval Sleipnir, tout comme saint Nicolas est dans certaines régions accompagné de deux Zwarte Pieten et de son cheval.

Au début du 20ème siècle, le père Noël commença à perdre son air de sorcier rugueux (habillé de vert) et à prendre une allure plus gracieuse pour les enfants, que nous appelons aujourd'hui dans les pays latins, le père Noël (habillé de rouge). Ce regard a été facilité, bien qu'inventé par une série d’annonces très populaires de la société Coca-Cola.

La tradition de la bûche

La bûche de Noël est un gâteau terminant le repas de Noël.

Cette tradition culinaire reproduit un autre rite lié à la célébration du solstice d'hiver. Cette coutume est attestée depuis le Moyen Âge et est héritée de divers rites païens. Elle est répandue dans toute l'Europe.

Avant l'expansion du christianisme, les cultes polythéistes (fête de Yule dans les pays scandinaves) brûlaient pendant plusieurs jours un tronc d'arbre en guise d'offrande aux dieux afin de garantir une bonne récolte pour l'année à venir.

Depuis plusieurs siècles, en effet, on a pour habitude, lors de la veillée de Noël, de faire brûler dans l'âtre une très grosse bûche qui doit se consumer très lentement ; l'idéal étant qu'elle puisse durer pendant les douze jours du cycle jusqu'au nouvel an (Yuletide) ou au moins pendant trois jours.

La bûche doit provenir, de préférence, d'un tronc d'arbre fruitier dans le Sud (prunier, cerisier et olivier) censé garantir une bonne récolte pour l'année suivante, mais aussi chêne et hêtre dans le Nord puisque les glands comme les faines étaient une nourriture pour les hommes jusqu'à la fin du Moyen Âge.

Lors de l'allumage, la bûche est bénie à l'aide d'une branche de buis, ou de laurier, conservée depuis la fête des Rameaux. Lors de sa combustion, la bûche est, dans certaines régions, arrosée de vin afin d'assurer une bonne vendange, ou de sel pour se protéger des sorcières. On conserve souvent les tisons afin de préserver la maison de la foudre ou du diable et les cendres sont répandues dans les champs pour fertiliser la terre.

On conservait aussi toute l'année du charbon qu'on faisait entrer dans la composition de plusieurs remèdes. Allumée avec des tisons de la précédente bûche, ses cendres servaient de protection à toute la maisonnée jusqu’à l’année suivante.

La bûche de Noël réunissait autrefois tous les habitants de la maison, tous les hôtes du logis, parents et domestiques, autour du foyer familial.

La bénédiction de la bûche avec les cérémonies traditionnelles dont elle se parait n’était que la bénédiction du feu, au moment où les rigueurs de la saison le rendent plus utile que jamais.

L'invention de la bûche remonte au XIXème siècle, sans que personne ne sache vraiment qui en a la paternité, les sources multiples se contredisant.

Certaines évoquent sa création vers 1834 par un apprenti pâtissier de Saint-Germain-des-Prés. D’autres estiment que la bûche de Noël est née à Lyon dans les années 1860 dans la cuisine du chocolatier Felix Bonnat. Une autre piste mène à Pierre Lacam, glacier du prince Charles III de Monaco, qui l’aurait conçue en 1898.

Toujours est-il que la bûche en tant que pâtisserie n’a commencé à se populariser que dans les années 1945-1950.

La bûche de Noël traditionnelle, glacée ou non, est généralement décorée d'attributs divers (Père Noël, hache, scie, champignons, lutins, etc.) en sucre ou en plastique.

Rituels :

*Charmes : Joie, Renaissance, Transformation.

*Activités : Décorer la maison, Fabriquer des photophores et des bougies en écorces de mandarines, Offrir des cadeaux, Faire sonner des cloches ou des grelots, Faire cuire des "gâteaux d'âme", Allumer des bougies, Cuir du vin chaud épicés et du jus de pomme chaud à la cannelle.

On décorera son autel d'une nappe rouge ou verte, on y déposera des pétales de roses blanche et rouge, du gui et du houx, des branches de conifère (sapin, pin, épinette) et des bougies.

C'est la période idéale pour effectuer des rituels de régénération, de guérison, ainsi que tous les rituels de clôture de cycle, au renoncement de ce qui nous entrave et au démarrage de nouvelles intentions, de croissance et de prospérité.

Prières :

La prière est un acte d'amour pour soi et les autres. Je me permets de vous en partager quelques unes que je trouve fort jolies :

"PRIÈRE à la TERRE" Froide et sombre, c’est la fin de l’année la terre est en sommeil, le cycle est terminé… Froide et sombre, la Mère-Terre est gelée, attendant dans la glace, la vie renouvelée. Loin sous la surface dans son manteau glacé, On entend déjà battre le cœur du Soleil nouveau-né. Qui chauffera la Terre de ses rayons dorés Pour que la vie jaillisse sur la Terre éveillée.

"PRIÈRE au SOLEIL de L’HIVER" Le soleil revient ! La lumière fait son retour ! Sous ses rayons, la Terre se réveille à son tour ! Le temps des ténèbres est maintenant passé Un chemin de lumière sera bientôt tracé. Ô lumineux Soleil, ton chant est espérance, Ô chaleureux Soleil, bénit la Terre et nos semences.

"PRIÈRE à la DÉESSE de l’HIVER" Ô Puissante Déesse, dans la glace argentée, Veillez sur nos sommeils sous le ciel étoilé. Car chaque nuit, la nature se pare d’un voile givré Qui recouvre la Terre et nos âmes tourmentées, Dans un grand manteau blanc d’une immense pureté, qui nettoie la Terre-Mère et les cœurs esseulés. Ô Divine Mère, dans le ciel argentée, Merci d’ouvrir nos cœur où le Soleil s’est caché.

"PRIÈRE de REMERCIEMENT pour NOËL" Je suis reconnaissant pour ce que j’ai. et ne suis pas triste pour ce que je n’ai pas. Car j’ai plus que d’autres et surement moins que certains, Mais peu importe, je suis béni de ce qui m’appartient.

"PRIÈRE aux DIEUX ANCIENS" Le roi Houx est parti et le roi Chêne règne Yule est le temps des anciens Dieux de l’hiver ! Salut à Baldur ! À Saturne ! À Odin ! Salut à Amaterasu ! À Demeter ! Salut à Ra ! À Horus ! Salut à Frigga, Minerva Sulis et Cailleach Bheur ! C’est leur saison et hauts dans les cieux, qu’ils nous accordent leurs bénédictions en ce 1er jour d’hiver."

Salutation aux Dieux de l’hiver

Remercions en ce jour de Yule, les dieux Ullr et Odin pour l’hiver dernier. La bougie de l’hiver est allumée en remerciement du dernier hiver, nous allumerons ensuite une bougie pour l’hiver qui commence. Le cycle solaire se termine avec la mort symbolique du soleil.

"A la saison dernière Froide et ténébreuse cadette mal-aimée Seigneurs je vous salue, Ullr, habile pourvoyeur des abondantes chasses, Odin, grave détenteur des sombres savoirs.

Hiver ancien aux longues nuits, Au bénéfique repos devant l’âtre chaud, Au gibier savoureux dans le quotidien neigeux, Aux secrets apprivoisés au cœur du foyer, Sereinement s’est écoulé à vos aimables côtés.

Je vous présente L’ultime étincelle de lumière En hommage à vos précieux dons Seigneurs Ullr et Odin, Merci pour votre vitale protection."

Bannière Yule

Recettes :

Aliments traditionnels : Comme c'est un festival qui dure plusieurs jours (Yuletide), les extravagances sont permises. A l'occasion de cette fête, les pommes sont considérées comme sacrées et tous les mets qui en contiennent sont à l'honneur. Le cidre était et reste une boisson de circonstance. Le gingembre et les épices occupent la place d'honneur. Il ne faut pas oublier qu'au Moyen Age, le gingembre, notamment, avait plus de valeur que les diamants. Une version moderne des gâteaux d'antan est la maison de pain d'épices, rappel des pièces montées qu'on présentait aux nobles rassemblés. Les biscuits sont une partie intégrante des festivités car, à cette époque, le sucre était rare et le miel, difficile à ramasser. Donnez-leur la forme d'étoile, de lune, de soleil et d'animaux, vous poursuivrez ainsi une coutume qui date de la préhistoire : les archéologues ont découvert des gâteaux pétrifiés en forme d'étoile et de lune ou portant l'effigie de divinités dans des tombes datant de cette époque.

Pains aux noix et raisins Ingrédients :

350 g de farine de blé blanche

120 g de levure de boulanger

50 g de noix concassées

40 g de raisons secs

1½ cuillerée à café de sel fin

Préchauffez votre four à 240 °, déposez un plat rempli d'eau qui ne craint pas la chaleur dans le four afin d'avoir un chaleur humide.

Commencez par délayez la levure dans l’eau tiède. Versez la farine en prenant soin de la tamiser et ajoutez-y la levure en pétrissant bien. Ajoutez la cuillère et demi de sel et continuez à pétrir énergiquement pendant environ 5 minutes.

Ajoutez à votre mélange les noix concassées et les raisins et continuez à pétrir pendant cinq minutes jusqu'à obtenir une boule bien lisse et homogène.

Placez la boule dans un plat couvert d’un linge et laissez reposer deux heures et demie.

Formez ensuite des petite boules de pâte et farinez les avant de les ranger sur une plaque de four farinée (j'utilise aussi du papier à pâtisserie pour éviter que ça accroche).

Badigeonnez les pains avec un peu d’eau et incisez le dessus en faisant par exemple une croix.

Enfournez pendant 15 minutes à 240 ° puis baissez la température à 210 pendant 10 minutes avant de sortir le tout et laissez refroidir sur une grille.​ Friture de panais Ingrédients :

1 kg de panais

Huile d'olive

3 cuillerées à soupe de farine

20 cl d’eau tiède

sel, poivre

Lavez et épluchez ces légumes anciens et faites-les blanchir 5 min.

Égouttez-les puis coupez-les en morceaux de quelques centimètres. Roulez-les dans la farine puis faîtes cuire dans l'huile d'olive 4 à 5 min de chaque côté.

Retirez les panais de la friture pour les poser sur du papier absorbant.

Salez, poivrez et servez chaud.

Pain d'épices Ingrédients :

250 g de farine blanche

250 g de farine complète

1 sachet de levure chimique

2 cuillerées à café de bicarbonate

50 g de poudre d'amandes

300 g de lait

600 g de miel

1 orange

1 pincée de gingembre

2 pincées de cannelle

1 citron

2 clous de girofle

1 pincée de coriandre

Commencez par râper les zestes de citron et d'orange pour les faire blanchir à l'eau bouillante.

Mélangez le miel et le lait dans une casserole et portez à ébullition. Ajoutez les épices et les zestes.

Bien mélanger et laissez refroidir. Avant que ce mélange soit complètement froid, délayez les farines dans celui-ci, ajoutez la levure, le bicarbonate et la poudre d'amandes.

Salez légèrement pour obtenir ainsi une pâte fine que vous laisserez reposer, recouverte d'un torchon, pendant 45 min au chaud.

Garnissez ensuite le moule de papier sulfurisé et versez-y la pâte.

Faites cuire 1 heure dans un four préchauffé à 160°C.

Après la cuisson, découpez en forme de petites briques et servez. Le tout bien arrosé d'un bon vin, de cidre ou de bière.

buche de Yule

Je vous souhaite de belles fêtes !

Bonne célébration à tous !

Soyez béni )o(



*Lillie pour le chaudron d'Auré*

Sources:

Entre France, Estonie… telle est l'Europe

Wikipédia

Parole de sorcière

Les grimoires d'Abigail

A l'ombre de l'arbre sacré

Livre :

Yule de Susan Pesznecker (éditions Danaé)

L'Almanach des sorcières

Posts à l'affiche

Newsletters

Posts Récents
Rechercher par Tags
bottom of page